Parler de Maître Kaissa Camara, c’est ouvrir un coin de voile sur les compétences, l’engagement et le dynamisme exceptionnel d’une femme qui marque d’un trait indélébile le secteur notarial en Guinée. Diplômée de maîtrise de droit des affaires à l’université Kofi Annan de Guinée (UKAG). La secrétaire générale et Trésorière de la Chambre des Notaires de Guinée, est femme au leadership d’exception qui s’est forgée une réputation bâtie sur le roc de la maîtrise de son secteur d’activité, sa volonté de servir son pays, sa formation académique et professionnelle est inspirante et enviable. Ce tri-type, qui l’a amené dans les congrès, séminaires, Universités et rencontres en sous-région et voire au-delà. On peut citer entre autres : Sa participation avec brio au congrès des notaires d’Afrique tenue à Dakar, dans la capitale Sénégalaise, sa participation au séminaire sur les Montages Juridiques de développement des entreprises dans l’espace OHADA, sa formation interactive sur la Lutte contre le Blanchiment des Capitaux (LBC/FT), sa participation active au séminaire sur l’assainissement des affaires en Guinée ou encore sa participation en 2023 au XVIème Université du Notariat d’Afrique à Lomé sur les thématiques d’actualité notamment régimes matrimoniaux en Afrique, la déontologie notariale et la sécurité des tiers, la Digitalisation et le notaire dans ses relations avec les services des hypothèques,
la copropriété verbale, le fichier des dernières volontés, la transmission des entreprises individuelles et familiales etc…), sa participation en tant que membre de la délégation officielle au Maroc dans le cadre d’une coopération sud-sud entre le Conseil National de l’Ordre des Notaire du Maroc et la Chambre des Notaires de Guinée, sa participation au XVIIème Université du Notariat Africain au Congo Brazzaville sur les thématique : ( Gestion de l’Office Notarial, Les sociétés civiles immobilières, La médiation, les nouvelles saisies).
Ce notariat par essence qui a certainement un rôle modérateur, mieux qui détient l’instrument adéquat pour rétablir les équilibres rompus souvent au détriment des plus faibles en permettant d’éviter aux indigents les recours judiciaires aux conséquences onéreuses. A l’égard de sa mission, c’est une professionnelle du droit, une professionnelle responsable et libérale, une professionnelle témoin de l’équité contractuelle entre les citoyens, une professionnelle au service de la paix sociale et garant de l’égalité. Afin de mener un combat dans le chantier des droits de l’homme, elle a mise en place depuis l’année 2015 une fondation dénommée « Fondation Humanitaire Panafricaine » qui œuvre dans le cadre de l’aide au développement humanitaire.